QUAND DECEMBRE (et les fêtes de fin d'année) REVEILLE LES MÉMOIRES FAMILIALES

Chaque année, la même scène lors des repas de fin d'année ?

Un silence qui s’abat sans prévenir…

Un conflit qui éclate pour un détail insignifiant…

Une place qui te semble familière, trop familière…

Une ambiance qui change d’un coup, comme si quelque chose d’invisible venait de s’installer au milieu de vous…

Et si ce que tu vis en décembre n’était pas seulement lié au présent,

mais à ce que ta lignée a traversé avant toi ?

Les fêtes rassemblent tout le monde :

 les vivants

 les absents

 et les mémoires qui continuent de circuler entre les deux

Quand une famille se réunit, ce ne sont pas seulement des personnes qui se retrouvent. Ce sont aussi leurs rôles, leurs blessures, leurs non-dits, leurs loyautés silencieuses.

Tous ces fils tissés bien avant ta naissance.

Voilà pourquoi, dans autant de foyers, Noël devient la scène où les anciens schémas reviennent en boucle :

• rivalités qui ne vous appartiennent pas complètement

• tensions héritées de générations entières

• places figées dont on ne sait plus comment sortir

• attentes que personne ne peut satisfaire

• souffrances muettes qui cherchent un passage pour se dire

Ce n’est pas un hasard.

Ce n’est pas parce que tu es trop sensible.

C’est peut-être une mémoire familiale qui frappe à ta porte.

Dans certaines lignées, on transmet des rôles invisibles :

• la “bonne fille” qui doit tout accepter

• le “pilier” qui garde la famille debout coûte que coûte

• celle/celui qui fait la paix, qui réunit, qui organise

• ou encore celui/celle qui doit “être fort.e pour tout le monde”

Ce ne sont pas que des habitudes : ce sont souvent des loyautés transgénérationnelles.

Des rôles que quelqu’un, avant toi, a portés… et que tu continues parfois sans t’en rendre compte.

Les mémoires se rejouent quand elles veulent être changées.

Elles insistent jusqu’à ce que quelqu’un s’arrête…

… et décide de ne plus continuer comme avant.

Et ce quelqu’un, c’est peut-être toi.

Prendre conscience, c’est déjà commencer à se libérer.

Observer → comprendre → transformer.

Tu n’as pas à porter ce qui ne t’appartient pas.

Tu peux honorer ton histoire, tout en ouvrant un chemin nouveau pour ta manière d’aimer, de te relier, de vivre les fêtes.

C’est ainsi que ton histoire peut s’orienter autrement.

.

Et si cette année, tu observais ce qui se passe vraiment autour de la table ?

Pas pour juger.

Pas pour t’épuiser.Juste pour voir ce qui se répète.

Observe les silences qui durent trop longtemps.

Ils en disent souvent plus que les mots.

Observe les sujets qu’on évite soigneusement.

Les tabous révèlent souvent les mémoires qui font encore mal.

Observe les histoires qu’on ressort chaque année,toujours sur les mêmes personnes, comme si leur rôle dans la famille était figé pour l’éternité.

Observe les regards qui se croisent… ou qui s’évitent.

Les alliances silencieuses.

Les places qui ne bougent jamais.

Tout ce qui semble anodin, mais qui raconte une vérité ancienne.

Ces détails sont des portes d’entrée.

Ils montrent où ça bloque encore.Ils montrent ce que ta lignée tente de réparer à travers toi.

Et si tu sens que ce que tu observes te touche, te bouscule,ou réveille quelque chose de profond, c’est peut-être le signe qu’une mémoire demande à être entendue..

VOIR LES SEANCES INDIVIDUELLES DE LIBERATION DES MEMOIRES

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